Completement
Zinc

Gravure sur zinc

à l’acide et à l’électricité

gravure sur zinc patine cire

L’atelier de gravure

Le zinc et les alliages de cuivre (laiton, bronze) sont découpés, gravés à l’acide ou à l’électricité (électrolyse), polis et martelés. J’utilise également du zinc de récupération de toiture qui prend après martelage l’aspect de l’ardoise vieillie. Dans mon atelier, le zinc se convertit en tableaux, carillons, étiquettes de jardin, il devient également estampes et livres d’artiste.

Le mot de la créatrice

J’ai baigné toute mon enfance dans un milieu familial technique et artistique. J’ai essayé tous les outils et tous les produits à ma portée. Mais ma première exploration personnelle a été la broderie! J’ai poursuivi mon travail de recherche avec la calligraphie et la peinture.

Ma fascination pour le feu m’a conduite au travail du verre (le fusing), la perle au chalumeau, le vitrail, puis au métal : le bronze à la cire perdue, la bijouterie, puis la gravure sur métal.

Pour moi, la gravure se nourrit de toutes ces expériences, tout en conservant son caractère propre : une dentelle de métal, qui fond comme du verre sous le feu du chalumeau, et qui fait sens comme une écriture.

Lucile Calvez graveuse peintre
zinc gravure acide perchlorure chlorhydrique

Quelques mots sur la gravure

gravure laiton chlorydrique estampe

Du zinc à l'estampe

gravure zinc eau forte gorgone rouge

Carillons éoliens et mobiles

Etiquettes de jardin

livre-artiste zinc gravure perchlorure-de-fer acide-chlorhydrique reliure-artisanale

Des livres uniques en métal

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Témoignage

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“Comment ne pas penser au conte des mille et une nuits en regardant ces gravures.
Ce mélange de calligraphies et dessins, mélange de couleurs, où le bleu et l’ocre côtoient le noir de l’encre. Du cœur de la cathédrale, entouré d’une libellule, se répand une histoire universelle, celle des multiples contes et légendes qui façonnent notre mémoire, et ce mélange des continents, des civilisations, nous renvoie, chacun, à nos rêves. Il reste un texte, des signes qui prennent leur sens, comme une longue histoire ; reste d’un parchemin retrouvé.
C’est le propre de l’artiste, d’ouvrir l’imaginaire, de nous inviter à un autre monde. Celui qui assemble, et à la fin des temps, le seul qui reste.”
- Christophe Hordé -

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